« On lit souvent ce genre d’articles là en se disant : ‟ah, c’est dommage…” Cette fois, pourtant, je me suis dit que je pouvais peut-être faire quelque chose. »
C’est ce que notre collègue Me Jean-Maxim LeBrun s’est dit lorsqu’il a pris connaissance d’une triste histoire où le tribunal et la législation donnaient raison à un agresseur sexuel en ordonnant à la mère de l’enfant né de l’agression de soumettre celui-ci à un test génétique pour prouver la paternité du délinquant sexuel.
Me LeBrun a alors approché Me Daphné Duval, spécialisée en droit de la famille, pour venir en aide à la victime, pro bono. Isabelle Hachey, de La Presse, signe aujourd’hui une chronique pour souligner le travail exceptionnel de nos collègues et la victoire d’Océane et d’autres Québécoises qui n’auront pas à affronter la même législation.
Pour lire l’article: https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2023-11-22/des-nouvelles-d-oceane.php